Ne pas voir la peur non comme un frein, mais comme une opportunité de progression est un point de vue contre-intuitif qui a l'avantage d'offrir une perspective d'amélioration — et de générer de la confiance en soi !
Comme cette NL fait écho "en moi". Et pourtant je dis toujours que lorsqu'on lance dans l'océan des RS, le volume de contenus nous laisse le temps de passer inaperçu.
Ton texte résonne parce qu’à chaque fois que je m’installe pour écrire, cette petite voix revient, celle qui me souffle que mon histoire n’a rien d’exceptionnel. J’ai beau avoir déjà osé partager des morceaux de moi, la peur s’accroche, tenace.
Même après les retours positifs, le syndrome de l’imposteur rôde, m’incitant à relire chaque phrase des dizaines de fois, me questionnant si je vais trop en dire, si mes mots trouveront un écho ou s’ils vont juste tomber dans le vide.
Et pourtant, au milieu de ces doutes, il y a cette force étrange, celle qui me dit que mes mots, même imparfaits, peuvent toucher quelqu’un. C’est ce curieux mélange entre la peur de trop m’exposer et ce besoin de me dépasser, comme si, à travers chaque ligne, je me redécouvrais un peu, en espérant que d’autres puissent, eux aussi, se reconnaître là-dedans.
Ne pas voir la peur non comme un frein, mais comme une opportunité de progression est un point de vue contre-intuitif qui a l'avantage d'offrir une perspective d'amélioration — et de générer de la confiance en soi !
Comme cette NL fait écho "en moi". Et pourtant je dis toujours que lorsqu'on lance dans l'océan des RS, le volume de contenus nous laisse le temps de passer inaperçu.
En résumé : « Oublie qu’t’as aucune chance, fonce, sur un malentendu ça peut marcher »
Des mots sages 😄
Ton texte résonne parce qu’à chaque fois que je m’installe pour écrire, cette petite voix revient, celle qui me souffle que mon histoire n’a rien d’exceptionnel. J’ai beau avoir déjà osé partager des morceaux de moi, la peur s’accroche, tenace.
Même après les retours positifs, le syndrome de l’imposteur rôde, m’incitant à relire chaque phrase des dizaines de fois, me questionnant si je vais trop en dire, si mes mots trouveront un écho ou s’ils vont juste tomber dans le vide.
Et pourtant, au milieu de ces doutes, il y a cette force étrange, celle qui me dit que mes mots, même imparfaits, peuvent toucher quelqu’un. C’est ce curieux mélange entre la peur de trop m’exposer et ce besoin de me dépasser, comme si, à travers chaque ligne, je me redécouvrais un peu, en espérant que d’autres puissent, eux aussi, se reconnaître là-dedans.
Elle me rappelle quelqu'un, Louise <3