#183 Ou le potentiel exponentiel d'une bonne idée.
Perso, je trouve des idées de posts dans les commentaires que je fais sur d’autres posts.
Oui aussi ! Dans cette newsletter j'ai vraiment voulu parler uniquement de la manière dont on reconnait une bonne idée, mais pas de la manière dont on génère les idées. Deux sujets différents selon moi ;)
Le premier truc auquel j'ai pensé c'est le positionnement de Peter Thiel qui dit qu'il suffit de 4 excellentes décisions par an pour battre le marché.
Pour moi le piège est de confondre générer des idées avec prendre des décisions.
La plupart des créateurs génèrent 100 idées… et prennent 100 décisions.
Résultat : dispersion totale.
Alors que ton framework "conversation → post" est un filtre asymétrique parfait.
- Tu testes 20 idées en dîner.
- 3 frappent fort.
- Tu publies ces 3.
C'est la logique de Thiel appliquée au contenu.
J'ai l'impression que le vrai levier n'est plus de générer plus d'idées mais d'avoir un système brutal pour les filtrer.
ca fait “putain j’aurais bien aimé l’avoir !”
Perso, je trouve des idées de posts dans les commentaires que je fais sur d’autres posts.
Oui aussi ! Dans cette newsletter j'ai vraiment voulu parler uniquement de la manière dont on reconnait une bonne idée, mais pas de la manière dont on génère les idées. Deux sujets différents selon moi ;)
Le premier truc auquel j'ai pensé c'est le positionnement de Peter Thiel qui dit qu'il suffit de 4 excellentes décisions par an pour battre le marché.
Pour moi le piège est de confondre générer des idées avec prendre des décisions.
La plupart des créateurs génèrent 100 idées… et prennent 100 décisions.
Résultat : dispersion totale.
Alors que ton framework "conversation → post" est un filtre asymétrique parfait.
- Tu testes 20 idées en dîner.
- 3 frappent fort.
- Tu publies ces 3.
C'est la logique de Thiel appliquée au contenu.
J'ai l'impression que le vrai levier n'est plus de générer plus d'idées mais d'avoir un système brutal pour les filtrer.
ca fait “putain j’aurais bien aimé l’avoir !”