Tu as peut-être raison, Maud, mais ça m'attriste de lire tout ça.
Pour moi, le sens de la vie comme du business est d'aller vers ce qu'on fait le mieux, en étant nous-mêmes - pas un "cool kid". Les cool kids ont les codes, certes, mais à vouloir tous se copier les uns les autres, quelle sera la place laissée à l'individualité, la créativité, l'originalité ?
Je savais que cette newsletter en attristerait plus d’un. Moi la première. Mais je suis ravie si elle pose des questions ! C’est un très bon point de départ pour trouver ce qui est important pour soi, et vivre aligné.
Je pense que c’est légitime, cet instinct de faire partie du bon groupe, des cools 😎. Mais en tant qu’artiste j’ai toujours trouvé ma cool attitude dans le fait justement de ne pas être de ce groupe, être l’excentrique, ni cool, ni nerd, celle que l’ont laissait tranquille dans son individualité 😝C’est peut être ça la valeur de l’art par rapport au business… je ne sais pas, je réfléchis 🤔 en écrivant.
Je pense que la stratégie que tu décris marche bel et bien, et poussée à l'extrême c'est une forme de syndrome du caméléon. Cela pose le risque de s'y perdre - surtout si nos cool kids sont des bouffons égocentrés avec qui on ne partage pas de valeurs, et qu'on n'a aucune envie de traîner avec eux (réf. à l'illustration choisie).
Heureusement, ce n'est pas la seule manière de se "faire une place au soleil".
D'ailleurs pour trouver des voies alternatives, je trouve intéressant, avant de réfléchir au comment, de bien se poser la question du pourquoi, derrière cette envie d'être au sommet de la pyramide sociale.
Est-ce pour qu'on nous foute la paix (comme ça semble avoir été le cas pour la Maud ado, auquel cas, travailler son rapport à la validation externe pourrait être une piste alternative) ?
Est-ce par égo ?
Est-ce au profit de valeurs ?
Est-ce pour un engagement plus grand que soi ?
Parce que si on ne sait pas, on peut vite se retrouver piégée dans une roue de hamster : il y aura toujours plus cool, plus kid, et plus principe que soi...
Merci beaucoup pour ce commentaire. :) Je suis d’accord avec toi. J’ai cadré le sujet de cette newsletter sur le "comment", en partant d’un constat, sans rentrer dans le "pourquoi". Le "comment" répondant directement à l'objectif de cette newsletter : Aider mes lectrices et lecteurs à bâtir leur personal branding.
Mais tes questions sont hyper interessantes, moi ça me fascine. Si tu écris sur ce sujet, je serais ravie de te lire !
Tu as peut-être raison, Maud, mais ça m'attriste de lire tout ça.
Pour moi, le sens de la vie comme du business est d'aller vers ce qu'on fait le mieux, en étant nous-mêmes - pas un "cool kid". Les cool kids ont les codes, certes, mais à vouloir tous se copier les uns les autres, quelle sera la place laissée à l'individualité, la créativité, l'originalité ?
Je savais que cette newsletter en attristerait plus d’un. Moi la première. Mais je suis ravie si elle pose des questions ! C’est un très bon point de départ pour trouver ce qui est important pour soi, et vivre aligné.
Et puis dans le monde de l’entreprise il y a aussi tout ce qui relève du « politique » : le paraître, les secrets et les non-dits …
C’est pas glorieux, mais comme tu dis, pour grimper il faut comprendre le système dans lequel on évolue et ses codes.
Ah la politique, c'est encore une autre affaire !
Merci Maud, tu as expliqué les règles de la vie que j'essaye de formuler depuis quelques temps dans ma tête !
Je pense que c’est légitime, cet instinct de faire partie du bon groupe, des cools 😎. Mais en tant qu’artiste j’ai toujours trouvé ma cool attitude dans le fait justement de ne pas être de ce groupe, être l’excentrique, ni cool, ni nerd, celle que l’ont laissait tranquille dans son individualité 😝C’est peut être ça la valeur de l’art par rapport au business… je ne sais pas, je réfléchis 🤔 en écrivant.
Je pense que la stratégie que tu décris marche bel et bien, et poussée à l'extrême c'est une forme de syndrome du caméléon. Cela pose le risque de s'y perdre - surtout si nos cool kids sont des bouffons égocentrés avec qui on ne partage pas de valeurs, et qu'on n'a aucune envie de traîner avec eux (réf. à l'illustration choisie).
Heureusement, ce n'est pas la seule manière de se "faire une place au soleil".
D'ailleurs pour trouver des voies alternatives, je trouve intéressant, avant de réfléchir au comment, de bien se poser la question du pourquoi, derrière cette envie d'être au sommet de la pyramide sociale.
Est-ce pour qu'on nous foute la paix (comme ça semble avoir été le cas pour la Maud ado, auquel cas, travailler son rapport à la validation externe pourrait être une piste alternative) ?
Est-ce par égo ?
Est-ce au profit de valeurs ?
Est-ce pour un engagement plus grand que soi ?
Parce que si on ne sait pas, on peut vite se retrouver piégée dans une roue de hamster : il y aura toujours plus cool, plus kid, et plus principe que soi...
Merci beaucoup pour ce commentaire. :) Je suis d’accord avec toi. J’ai cadré le sujet de cette newsletter sur le "comment", en partant d’un constat, sans rentrer dans le "pourquoi". Le "comment" répondant directement à l'objectif de cette newsletter : Aider mes lectrices et lecteurs à bâtir leur personal branding.
Mais tes questions sont hyper interessantes, moi ça me fascine. Si tu écris sur ce sujet, je serais ravie de te lire !